Jeudi dernier, un jeune homme de 23 ans a été jugé par le tribunal correctionnel pour avoir en sa possession des cartes téléphoniques prépayées volées lors d’un braquage à Marigot en juin 2013.
C’est lors d’une perquisition au domicile de monsieur M. pour une autre affaire que les gendarmes ont trouvé plusieurs cartes téléphoniques prépayées provenant de ce cambriolage. Mais monsieur M. n’a pas pu y participer, car à cette période il était en prison. A la barre, il explique qu’un garagiste auquel il avait donné 800 dollars lui a remboursé cette somme après ne pas avoir effectué une réparation sur sa voiture, et qu’il l’a payé en partie avec ces cartes. A son grand étonnement, ces cartes ne fonctionnaient pas sur son portable. Le commerçant, victime du cambriolage, confirme avoir fait bloquer les cartes après le cambriolage. Dans sa constitution de partie civile, il réclame un remboursement de 400 dollars. Monsieur M. a été condamné à deux mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve. Il devra également effectuer 105 heures de travaux d’intérêt général sur 18 mois et rembourser l’équivalent de 400 dollars en euros au commerçant._KL
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