L’ancien conseiller territorial Louis Mussington a adressé aux médias un communiqué relatif aux spécificités de Saint-Martin en matière d’éducation. Il espère recevoir une réponse claire des autorités académiques à ses interrogations.
«S’il y a lieu de reconnaître que l’Education nationale a bien pris conscience de l’urgente nécessité de mettre en place une nouvelle organisation administrative qui prend en compte la problématique spécifique aux particularismes de l’île de Saint-Martin, force est de constater qu’aucune action concrète ni spécifique n’a été mise en œuvre jusqu’à ce jour», indique-t-il. Concernant l’enseignement bilingue, c’est «un moyen de transmettre la langue et la culture régionale : l’enfant acquiert la maîtrise de la seconde langue sans pour autant affaiblir la première». Dans son communiqué, Louis Mussington prend l’exemple de Saint-Pierre et Miquelon et souligne que cette Collectivité «dispose d’une organisation de l’administration des services de l’éducation qui lui est propre et qui répond à ses préoccupations particulières. De ce fait, la question fondamentale qui est en droit d’être posée demeure : à quand un véritable service de l’Education nationale à Saint-Martin ?».
Bonjour
Le globish des Caraïbes n’est qu’un dialecte local, les seules langues d’échanges viables : le Français et l’Anglais (le globish est beaucoup trop pauvre en vocabulaire env 250-300 mots : demandez à un enfant en 3éme ce qu’est un train !… vous serez surpris !…)
Il y donc 2 langues à apprendre le Français (officiel) et l’Anglais (touristes et Bataves)
Bonjour,
il serait urgent de garder les élèves dans l’enceinte des établissements; il est scandaleux de voir les élèves déambuler à longueur de journée dans les rues; prenez modèle sur la partie Hollandaise; il y a peut-être des jeunes mieux formés et plus d’emplois…..; c’est désespérant de voir le laxisme Français