Les dégâts causés par le passage d’Irma à Saint-Martin vont coûter près de 990 millions d’euros aux assurances.
Si les indemnisations vont être versées même avec du retard, la question est aujourd’hui est de savoir si les compagnies vont accepter de réassurer leurs clients, précisément ceux qui ont été le plus touchés et/ou qui se trouvent dans une zone à risque.
Jusqu’alors, les riverains du bord de mer ou d’une zone inondable pouvaient contracter une assurance sans grande difficulté. Maintenant cela risque d’être plus compliqué.
«Chaque compagnie va devoir s’interroger sur ce qui est assurable ou non, sur ce qui peut être souscrit de manière raisonnable», confie Arnaud Chneiweiss, délégué général de la fédération française des assurances (FFA). «L’assureur, son métier est de sélectionner le risque. Il choisit ou non d’assurer un bien», poursuit Arnaud Chneiweiss.
les compagnies pourraient renouveler des contrats mais avec de nouvelles conditions. Une réflexion entre les professionnels est actuellement en cours à ce sujet.
(Source : www.soualigapost.com)
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