Six semaines après avoir été abandonné à sa naissance, un bébé n’est toujours pas placé dans une famille. Il est encore à l’hôpital alors que son état de santé ne le justifie pas. Une employée décide alors – avec l’accord de la direction de l’établissement, des services sociaux de l’hôpital et de la Collectivité – de s’occuper du bébé. Début novembre elle se rend chez le juge aux affaires familiales (JAF) pour être désignée administratrice ad-hoc. Seulement, la démarche de reconnaissance de l’enfant comme pupille de l’État a déjà été entamée aussi la femme ne peut-elle pas être nommée comme administratrice ad-hoc. Elle conteste aussitôt l’arrêté devant le tribunal de grande instance de Basse-Terre qui l’annulera le 23 février. De plus, il lui «délègue l’autorité parentale». Selon l’exécution provisoire de la décision, les services sociaux de la Collectivité doivent lui remettre le bébé immédiatement. Or à ce jour, l’enfant ne lui est toujours pas remis. Désemparée, elle a donc décidé de médiatiser l’affaire. (Plus de détails sur www.soualigapost.com)
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